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pimkie s’engage

FASHION PACT

Les plus gros acteurs de la mode s’unissent pour s’engager sur le climat, la biodiversité et les océans: nous sommes fiers d’en faire partie ! Conscients de l’impact actuel du secteur de la mode sur l’environnement, nous reconnaissons le besoin urgent d’agir. Le Fashion Pact fixe des objectifs concrets, c’est-à-dire ambitieux mais réalisables.

Ils visent à limiter nos impacts dans les 3 domaines prioritaires suivants :
- Le climat : atténuer les changements climatiques et s'y adapter
- La biodiversité : infléchir la courbe de la perte de biodiversité d'ici 10 ans
- Les océans : lutter contre la perte critique de fonctionnalité des océans due au changement climatique et à la pollution. Pimkie soutient les objectifs de développement durable de l’ONU, qui font également partie des principes du Fashion Pact.

TEXTILE EXCHANGE

De par son implication au sein de l’écosystème FashionCube*, Pimkie est membre de Textile Exchange. C’est une organisation à but non lucratif dont l’objectif est d’accompagner les marques dans l’adoption de pratiques plus respectueuses de l’environnement (utilisation de matières recyclées, réduction des gaz à effet de serre, etc.) L’organisation met notamment à disposition de tous des outils, des études de marché, des données scientifiques, ce qui permet de bénéficier de l’effort collectif. Plus d’informations sur Textile Exchange.

*écosystème d'enseignes auquel Pimkie contribue. Il a pour but de travailler les enjeux de la distribution textile de manière conjointe, et ainsi mettre en commun les bonnes pratiques et les enseignements de chacun.

RESPECT DE LA CAUSE ANIMALE

Conscients de l'impact qu'a l'utilisation des fibres animales tant sur le bien-être animal que sur l'environnement (qui dit pâturage ou alimentation au soja dit potentielle déforestation) nous avons décidé de favoriser l'utilisation de laine recyclée. Nous ne proposons pas de produits en cuir, pas d'angora, pas de vraie fourrure, et depuis 2020, plus de nacre.

CHAINE LOGISTIQUE / SUPPLY CHAIN

Bien que nous ne puissions pas encore contrôler toute notre chaîne, nous demandons à nos fournisseurs de ne pas utiliser de coton en provenance d'Ouzbékistan, de Syrie ou du Turkménistan. En effet, sur ces origines, nous pourrions avoir à faire face à des problématiques sociales et/ou environnementales (épuisement de la mer d’Aral, travail forcé, travail des enfants, financement du terrorisme...). De même, nous nous assurons de ne pas travailler avec des fournisseurs ou usines situés en Corée du Nord. Nous souhaitons aller plus loin sur ces sujets ainsi que sur les obligations réglementaires auxquelles nous répondons déjà aujourd'hui.